La Vie devant soi
De Romain Gary / Mise en scène Simon Delattre
D’après La vie devant soi de Romain Gary (Emile Ajar), © Mercure de France, droits théâtre gérés par les Editions Gallimard
Durée : 1h35 - Tout public à partir de 14 ans
* Adaptation LSF par Accès culture (teaser ci-dessous) // Audio description existante
** Ateliers d'analyse Chorale du spectacle disponible avec l'ANRATT (Jean Pierre Loriol)
*** Dossier Pièce démontée en téléchargement dans la colonne de droite
Entre théâtre, marionnettes et musique, Simon Delattre adapte le roman majeur de Romain Gary, prix Goncourt en 1975.
Pour ne pas vivre sans amour, il faut choisir soi-même sa famille de coeur. Le lien qui unit Momo, le petit Arabe débrouillard, à Madame Rosa, une vieille femme juive autrefois prostituée, est de ceux qui sont indéfectibles. Du roman de Romain Gary – signé sous le nom d’emprunt d’Émile Ajar –, Simon Delattre a tiré une adaptation théâtrale et musicale qui fait souffler un vent d’espoir. L’altruisme, la solidarité et la générosité sont en effet au centre de cette représentation émouvante, drôle et ludique. Les personnages qui peuplent le récit sont incarnés en scène par une série de marionnettes. Façon de rappeler à chacun qu’il n’est pas vain de prêter l’oreille à l’enfant tendre qui sommeille en nous.
COPRODUCTIONS : Théâtre de Sartrouville et des Yvelines - CDN, Théâtre Jean Arp à Clamart, TJP - Centre Dramatique National Strasbourg - Grand Est, Théâtre Massalia Marseille, Pôle arts de la scène Friche de la Belle de Mai, Le Théâtre - Scène Conventionnée de Laval
SOUTIEN FINANCIER : DRAC Ile de France, ARCADI Ile de France, ADAMI
Avec la participation artistique du Studio d’Asnières-ESCA et le soutien des JM France pour la tournée
DISTRIBUTION
Mise en scène : Simon Delattre
Adaptation et assistanat à la mise en scène : Yann Richard
Avec : Nicolas Gousseff, Maia Le Fourn, Tigran Mekhitarian
Musique live : Nabila Mekkid (Nina Blue)
Scénographie Tiphaine Monroty assistée de Morgane Bullet
Lumière : Tiphaine Monroty
Son : Tal Agam
Construction du décor : Morgane Bullet, Clément Delattre/ Stagiaire en scénographie : Emma Bouvier
Construction des marionnettes : Marion Belot et Anaïs Chapuis
Costumes : Frédéric Gigout
Adaptation LSF: Yoann Robert
Régie générale : Jean- Christophe Planchenault
Production : Bérengère Chargé
Diffusion : Claire Girod
Crédit photo : Matthieu Edet
Vidéo : Mathilda Mugnier
PREMIERS EXTRAITS DE PRESSE
"Mieux que le droit du sang, mieux aussi que le droit du sol, c’est celui du cœur qui scelle les attachements : Romain Gary le dit trente ans après la Shoah, dont Madame Rosa est rescapée ; Simon Delattre le rappelle aujourd’hui, alors que gronde la bêtise raciste et que d’aucuns confondent hérédité et parenté…(...) C’est le cœur et non pas le ventre qui fait la maman ; c’est l’amour, plutôt que le genre, qui fait les parents ; c’est la tendresse, mieux que les certificats de naissance, qui fonde les familles. Il est des évidences auxquelles notre époque devrait se résoudre sereinement (...)
Entre théâtre, marionnettes et musique, Simon Delattre imagine une touchante adaptation du roman de Romain Gary. (…) L’ensemble compose un univers poétique et rêveur qui ressemble à une boîte à musique ouverte par un enfant rieur et émerveillé. »
Catherine Robert www.journal-laterrasse.fr
« Simon Delattre adapte avec une grande sensibilité le roman de Romain Gary et le place à la confluence de plusieurs arts pour en extraire toute la
tendresse. » ScèneWeb
« Un remarquable quatuor d’interprètes qui met particulièrement bien en valeur la dimension poétique et imagée du texte de Romain Gary. » L’arbre aux contes - blog Le Monde
"Porté par le jeu habité des comédiens, époustouflante et vibrante Maia Le Fourn en Madame Rosa, Tigran Mekhitarian, ingénu et fougueux à souhait en Momo, et la présence évanescente et rockeuse de Nabilla Mekkid, corps généreux à toutes les prostituées de la terre, qui prête sa voix légèrement fêlée et son, cet hymne à la vie, un brin naïf souligne le texte de Gary et ensorcèle un public conquis."
Olivier Frégaville-Gratian d’amore www.loeildolivier.fr
"La poésie visuelle répond bien à la poésie un peu folle du texte de Gary-Ajar, la tendresse et l’humanité font la nique à la pauvreté et à la mort, les symboles visuels sont forts et utilisés sans excès." Mathieu Dochterman toutelaculture.com